L’acquisition d’une résidence secondaire
Les résidences secondaires ont la cote !
Si l’on constate un léger ralentissement sur le marché de l’immobilier urbain, le secteur des résidences secondaires a la cote. Crise Covid19 oblige, beaucoup d’acquéreurs marquent un intérêt pour un bien proche de la nature pour s’y évader régulièrement, un écrin accessible aisément en train ou en voiture. La généralisation du télétravail appelle aussi à la quête de weekend de trois jours dans un environnement calme, plus privatif et en dehors des centres urbains.
Au moment d’entreprendre une telle acquisition de nombreuses personnes sous-évaluent les multiples dimensions qui doivent être étudiées : aspects fiscaux d’un achat en Suisse ou en France voisine, modèle d’acquisition en direct ou par le biais d’une société, location du bien une partie du temps, quel sera le mode de financement, quel régime matrimonial pourra s’appliquer, etc.
Dans l’esprits de beaucoup, acheter en France présente l’inconvénient de droits de succession élevés (45% en ligne directe), or il est bien souvent possible d’abaisser sensiblement l’assiette fiscale de cet impôt. Une acquisition en Suisse a par ailleurs également des impacts fiscaux non négligeables, souvent omis des futurs acquéreurs, tel par exemple l’imposition d’une valeur de rendement locatif.
Ces multiples dimensions requièrent une évaluation à long terme qui va bien au-delà du simple prix d’achat, ceci afin d’éviter des répercussions fâcheuses a posteriori.
Nous développerons ce sujet plus avant dans un prochain blog.